présentation farafina korofo
Déclaration korofo.
1- manifeste korofo :
Korofo(en langue bamanan = la parole,l'opinion,le discours,la critique,le débat)est l'approche de la culture du savoir-vivre,du bon sens et des bonnes manières d'être humain sur terre. C'est la critique qui libère l'art qui est parti d'Afrique à travers le monde depuis des millénaires. Son initiateur, Djimé Diakité fait la profession d'un art vivant et vécu dans les actes de la vie pratique. Il diffuse les idées fondamentales de la tendance qui conçoit l'art comme l'expression des moeurs et des civilisations; en plus il en donne des exemples avec ses tableaux en créant des images-types et des figures de styles tirées de la mémoire et des valeurs profondes des civilisations d'Afrique et du monde. Ses oeuvres dépassent la simple création d'images visuelles pour entrer dans le domaine du vivant, le virtuel et le mystique:ritualisation de la force et les capacités dans les personnes, susciter les créativités enfouies dans les diverses personnalités, utilisation de l'intelligence et les acquis des peuples pour bâtir un mieux être humain.
2-déclaration korofo :
La voix, la parole de l’art africain…fut une devise dans un sursaut de mouvement et de volonté de promouvoir uns conception vivante et fonctionnelle, voire esthétique de l’art et la créativité des peuples noirs dans le monde.
Korofo fut énoncé en langue bamanan (bamanan kan), le 12 avril 2002 par Djimé Diakité (peintre- ingénieur- écrivain), accompagné de Seydou Diakité (photographe magistrat). C’était lors d’un programme du Palais de la Culture de Bamako, auquel l’artiste présentait des œuvres types de la tendance. Ensuite il y a eu Boubacar Diarra (administrateur travaillant à la tour de l’Afrique à BKO) pour conduire le mouvement, et être le directeur artistique de l’action ; mais il est limité par le manque de moyens financier. Le contenu du premier manifeste est d’énoncer l’art africain basé sur le concept du seko ni kodôn ni dônko, et la conception vivante ou familière de l’art et aussi de la critique d’art. Siège permanent du mouvement à la Galerie d’art contemporain africain Mamy Wata- Ngolonina- Bamako.
Pratiquement il y a eu des expositions, mais les explications théoriques de Djimé Diakité étaient très avant- gardistes ; des résultats de réflexions qui ont permis de distinguer les idées servant à élaborer les différents documents de base.
Dans la presse il n’y a eu que des petites annonces dans le journal ECHO et aussi dans le magazine des publicités Duruni. Des productions audio et vidéo existent.
Œuvres types : parmi les tableaux désignés il y a yokoromansa , makan sunjata.
A la suite d’étapes d’évolutions l’aventure et l’expérience ont été une réussite :
- titre actuel : farafina korofo- made in Africa.
- porto folio : voir affiche korofo.
- thématique : art et culture.
-description : présentation d’images d’œuvres d’art, et résultats de réflexions sur la culture et l’art africain actuel. Korofo est la voix qui dénonce et critique les mensonges, les préjugés, les impostures et les spéculations, au nom des civilisations africaines.
-mots clés : racines noires- art africain- art vivant- créativité- activité culturelle- animation.
-site web: http://www.korofo.populus.ch
-blog: http://www.farafina-korofo.blog4ever.com
-e mail du fondateur: djimediakite@yahoo.fr
djimediakite@hotmail.com
-groupe : http://fr.groups.yahoo.com/korofo/
-e mail groupe : korofo@yahoogroupes.com
3-présentation farafina korofo- made in Africa :
L’art figuratif contemporain africain est maintenant présenté on-line en textes et en images. Manifeste d’une critique contemporaine des arts et cultures des peuples d’Afrique (farafina en Bamanan). Une présence africaine qui s’affirme par la mémoire des traditions ancestrales ; et la participation au concert des civilisations ; et aussi le partage des valeurs en héritage du monde.
Les racines noires présentées dans une vision authentique en textes et en images ; et aussi le code d’accès à l’art africain analysé alors comme façon d’agir et comme style de vie.
